Classique, Latino et Rock pour notre Symphonie éclectique : Libertango d’Astor Piazzolla
Libertango est une oeuvre majeure et mondialement connue du compositeur Astor Piazzolla (1921 – 1992).
Astor Piazzolla, compositeur (et bandéoniste !) argentin du
20ème siècle, est un musicien incontournable lorsqu’il est question de tango, et particulièrement de tango instrumental.
D’abord passionné par le jazz depuis son plus jeune âge, Astor
Piazzolla découvrira le tango grâce à la passion de son père
pour ce style.
Un peu déçu de s’être vu offrir un bandéon lorsqu’il avait 8 ans,
le jeune Astor en joue sans grande conviction, jusqu’au jour où,
adolescent, il assiste à un concert de tango qui va le passionner
immédiatement.
A 17 ans, il décide donc de devenir bandéoniste professionnel : d’orchestres médiocres en orchestre de qualité, Piazzolla s’adonne de plus en plus à l’écriture.
Dans un premier temps il se passionne pour la composition de musique classique mais revient quelques années plus tard à ses fondamentaux : le tango.
C’est en 1974 qu’il enregistre « Libertango« .
Libertango est la contraction de deux mots « libertad » (la liberté en espagnol) et tango, qui symbolise le passage du tango classique au « tango nuevo » pour Piazzolla.
Le « tango nuevo » est un style de tango créé par Piazzolla lui-même, qui se veut plus dynamique et plus ouvert que le tango traditionnel.
Ce nouveau tango ne se chante plus et devient une musique de concert à part entière !
Dans libertango, vous pourrez découvrir l’expression artistique de Piazzolla à son apogée, au style absolument singulier.
« Quand on crée, il faut avoir son propre style. Sans style, il n’y a pas de musique. »
Fort d’un thème envoûtant, dynamique et passionné, Libertango saura sans aucun doute vous séduire !
Vous reconnaîtrez aisément sa mélodie chantante et lyrique, contrastée par une base rythmique entraînante et dansante.
Célèbre dans le monde entier, Libertango a été repris et réarrangé par de nombreux musiciens internationaux.
Parmi les réinterprétations chantées, nous pouvons citer « I’ve seen that face before » de l’américaine Grace Jones, « Moi je suis tango » de Guy Marchand ainsi qu’une reprise libanaise par l’artiste Hiba Tawaji.
Aussi, dans les reprises instrumentales, nous noterons la merveilleuse interprétation au violoncelle de Yo-Yo Ma :
Retrouvez Libertango par l’Orchestre Symphonique de Lyon en concert :
Le concerto d’Aranjuez pour guitare et orchestre que nous vous avons présenté dans cet article sera une pièce pivot du classique au latino.
Composé pour Guitare et Orchestre, il sera interprété le Samedi 26 Mai 2018 par la soliste Keren-Nada Bahr
Son parcours musical commence à l’âge de 5 ans au conservatoire de Givors. Elle débute par la flûte traversière puis 2 ans après le clavecin, le chant et 3 ans après la guitare. En parallèle, en tant que flûtiste elle a fait partie des harmonies de Givors et Tarare.
En 2 000 elle choisit de se spécialiser en Guitare. Elle a travaillé avec René Bartoli au conservatoire de Marseille où elle obtient son Diplôme d’Etudes Musicale puis avec le maître Alberto Ponce à l’Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot où elle obtient son diplôme d’Exécution puis son diplôme Supérieur d’Exécution.
En 2008 elle commence le Quanoun (instrument traditionnel oriental) et de là, crée un ensemble de musique oriental avec un percussionniste dans lequel elle chante également. Elle arrange principalement des chansons de Fairouz (chanteuse Libanaise).
Durant sa carrière artistique, elle a fait une série de concerts au Liban organisée par le centre culturel français, en 2001 elle joue avec l’ONL « le voyage d’hiver » de Schubert orchestré par Zender. En 2004 elle joue en 1ère mondiale le concerto pour guitare et orchestre « Iber » de Cortès avec l’OSL.
Elle se produit régulièrement en solo ou duo de guitare et guitare et chant ainsi qu’avec l’ensemble de musique orientale.
Elle enseigne la guitare depuis septembre 2000 dans diverses associations. Actuellement elle travaille à l’Ecole de Musique de Brignais et au Conservatoire à Rayonnement Communal de Givors.
Pourquoi redécouvrir ? parce que sans doute, sans le savoir vous connaissez déjà ce morceau et notamment son mouvement lent , l’adagio.
Avant de vous présenter cette oeuvre, vérifions tout de suite :
Verdict ?
Lisez la suite. On vous en dit plus sur cette oeuvre et son compositeur
Concerto d’Aranjuez
Lorsque Joaquin Rodrigo (1901-1999) compose le concerto pour guitare et orchestre de Aranjuez en 1938 pour répondre à la commande du marquis de Bolarque, grand amateur de musique classique, il ne se doute pas du succès phénoménal que celui-ci connaîtra.
Le concerto d’Aranjuez tient son nom des jardins du palais royal d’Aranjuez. Joaquin Rodrigo, atteint de cécité depuis l’âge de 3 ans, dira de ce lieu qu’il est « imprégné du parfum des magnolias, du chant des oiseaux et du jaillissement des fontaines » ». Impressions – et non descriptions – que l’on retrouve tout au long du concerto, œuvre de musique pure, sans programme aucun, qui offre une vision intérieure d’une Espagne éternelle et heureuse au moment même où l’Espagne est plongée dans les heures sombres de la dictature de Franco.
Le premier mouvement est animé d’un rythme vigoureux qu’aucun des deux thèmes qu’il contient ne vient interrompre. Il évoque les jours heureux passés à Aranjuez par Rodrigo et sa compagne Victoria Kamhi lors de leur lune de miel.
l’adagio : ultra connu
Le deuxième mouvement, un adagio, est le mouvement le plus connu de ce Concerto d’Aranjuez. Empreint de tristesse, il est une supplication adressée à Dieu pour qu’il ne prenne pas la vie de sa femme Victoria, qui venait d’accoucher d’une petite fille de sept mois mort-née. Ce mouvement est un véritable dialogue entre la guitare soliste et les instruments de l’orchestre.
Le troisième mouvement, allegro gentile, évoque une danse de cour, avec une combinaison de rythmes binaires et ternaires qui soutiennent un tempo vif jusqu’à la fin.
Ce concerto d’Aranjuez, que nous auront le plaisir de vous interpréter le 26 mai dans sa version d’origine, a été utilisé dans de nombreux films et séries. Il a aussi été adapté dans des styles variés notamment jazz par Miles Davis et Chick Corea, latino par Paco de Lucia et rock par John Paul Jones de Led Zeppelin. Encore une preuve s’il en fallait que la musique symphonique dite « classique » n’a pas fini d’être une source d’inspiration et d’émotion !
Il est temps de vous parler un peu plus de cette oeuvre phare qu’est Carmen.
Tout le monde en a entendu parlé et tout le monde saurai retrouver le titre en entendant un extrait. Mais connaissez vous toute l’histoire? On va le découvrir ensemble.
Carmenest au départ une nouvelle de Prosper Mérimée datant de 1847. Mérimée s’est inspiré de l’histoire dramatique d’un brigadier déserteur ayant réellement existé et qu’il a rencontré durant l’un de ses voyages en Espagne. L’opéra, le chef d’œuvre de Georges Bizet(1838-1875), est sans doute l’opéra français le plus célèbre et compte parmi les opéras les plus joués au monde.
Pourtant, les débuts furent difficiles : la première fut un désastres, les musiciens et choristes n’étant pas à la hauteur, les changements de décors étaient trop lents, le public fut choqué par cette histoire sulfureuse et la critique et la presse condamnèrent unanimement l’œuvre au nom de la morale. Bizet en fut bouleversé, se réfugia à la campagne, tomba malade et mourut trois mois plus tard. Il ne vécu malheureusement pas le succès de cet opéra qui devint très vite très populaire et qui est aujourd’hui considéré comme l’œuvre la plus accessible du répertoire français.
L’histoire se situe à Séville en Espagne. Carmen, une jeune bohémienne rebelle et séductrice, déclenche une bagarre dans la manufacture de tabac où elle travaille. Elle se fait arrêter. Le brigadier Don José, chargé de la mener en prison, tombe sous son charme et la laisse s’échapper. Par amour pour elle, il va déserter et rejoindre les contrebandiers. Mais Carmen très vite va se lasser de lui et se laisser séduire par un célèbre torero. Don José, fou de désespoir et dévoré par la jalousie, la frappe à mort avec un poignard.
La fête, l’amour et la mort !
L’ouverture annonce d’emblée ce que l’on trouvera dans Carmen (tant l’opéra que le personnage éponyme): la fête, l’amour, et la mort. Pour ceux qui se demanderaient ce qu’est une ouverture d’opéra: il s’agit d’une pièce instrumentale qui constitue le début de l’œuvre. Ici elle de type pot-pourri et nous donne à entendre les grands motifs musicaux que l’on va retrouver dans la suite de l’œuvre, comme une sorte de bande-annonce.
Vous pourrez donc écouter successivement la parade de l’acte IV, le ô combien célèbre air du toréador de l’acte II ainsi que le thème du destin qui parcourt toute l’œuvre à ses moments les plus dramatiques. En imaginant, dès l’ouverture, une musique dont la clarté éblouit et la puissance tragique étreint, Georges Bizet a paré la Carmen de Prosper Mérimée d’une robe étincelante et fatale.
Retrouvez cette ouverture lors de notre prochain concert
Dès l’enfance, sa famille voyage beaucoup pour cause de théâtre; Wagner est pratiquement né dans le théâtre. À Dresde, il est figurant dans le Freischütz de Weber, un intime de la famille à cette époque. Dès lors Wagner sait qu’il sera homme de théâtre. Et comme nombre de romantiques allemands, il cultive l’amour des tragédiens grecs, de Shakespeare, de Gœthe. De même, il partage avec ses contemporains l’amour du Moyen-Âge, des légendes qui, pour lui, seront la redécouverte du patrimoine nordique, en opposition avec les tendances italianisantes.
Tannhauser, créé à Dresde en 1845
Tannhäuser est un des premiers grands chefs-d’œuvre de Richard Wagner. Cet opéra conte l’histoire de Tannhäuser, un homme en quête d’identité, partagé entre le sensuel et le spirituel, l’amour profane et l’amour sacré, mais aussi celle d’un artiste cherchant la reconnaissance.
L’ouverture de Tannhäuser peut être considérée comme une oeuvre symphonique à part entière. En effet, il s’agit d’un résumé de l’opéra plus que d’une ouverture. Deux thèmes principaux s’y opposent, symbolisant la dualité de Tannhäuser. Le premier sera dans la suite de l’opéra le Chœur des pèlerins. Véritable choral, il est d’abord exposé solennellement par 2 clarinettes, 2 cors et 2 bassons. Le thème dit du Repentir lui succède, plus lyrique mais introspectif. Le thème initial des pèlerins revient ensuite, joué par 2 trombones, un trombone basse et un tuba, soutenus par des roulements de timbales, ce qui lui confère puissance et éclat.
Wagner a composé deux versions différentes de cette ouverture: la première, dite de Dresde, que vous entendrez joué par l’OSL, a été créée en 1845. La seconde dite de Paris a été arrangée pour la première de l’opéra à Paris en 1861, la reprise de la marche initiale étant remplacée par une bacchanale en raison d’une exigence du public parisien.
Retrouvez cette ouverture de Wagner lors des nombreux concerts de l’OSL
L’Orchestre Symphonique de Lyon présente Symphonie éclectique :
de Carmen aux Beatles,
70 ans de découvertes avec l’OSL
Au Radiant-Bellevue
le Samedi 26 Mai 2018 à 20h30
Depuis 70 ans, l’Orchestre Symphonique de Lyon diversifie son répertoire, mêlant la musique classique aux œuvres contemporaines et musiques de films.
Ce concert exceptionnel Symphonie éclectiquevous emmènera de la période romantique jusqu’au rock version symphonique, en passant par des œuvres d’Amérique Latine. Un programme qui permet à l’OSL de se renouveler encore… et ce n’est pas fini !
Danses funèbres d’une marionnette de Charles GOUNOD
Films Peplum
Adagio de Spartacus de Aram KHACHADOURIAN
Gladiator de Hans ZIMMER, arrangé par John Wasso
Ben Hur de Miklos ROZSA, arrangé par John Glenesk Mortimer
Un concert qui met en avant encore le large éventail possible en symphonique. Le tout dans un superbe cadre de l’ancienne abbaye St Martin d’Ainay, un lieu historique de Lyon.
Et vous aussi, soutenez par votre présence ces enfants !
Ne manquez pas l’interview de notre chef d’orchestre Jean-Pierre Prajoux et Christine Gaud de l’association Ashalayam sur RCF Lyon : c’était ce lundi 11/12/2017
Vous êtes musicien amateur de bon niveau et vous souhaitez rejoindre un orchestre symphonique dynamique ?
L’Orchestre Symphonique de Lyon recrute !
Nous avons pour mission d’ouvrir chacun à la musique classique mais aussi de rendre la musique symphonique accessible à tous, c’est pourquoi l’OSL aborde un large répertoire classique et musique de film.
Créé en 1947, nous fêtons cette saison nos 70 ans. Chaque année une dizaine de nouveaux musiciens nous rejoignent.
Vous aussi, n’hésitez pas !
Pour la saison 2017-2018, nous recherchons principalement pour les pupitres suivants :
Alto
Basson
Tuba
Trombone
Percussion classique
Batterie
Harpe
Rendez-vous sur la rubrique Recrutement pour connaitre nos conditions et nous envoyer votre formulaire de candidature.
L’Orchestre Symphonique de Lyon est sur Instagram depuis maintenant plus d’un an.
Ce sont vos photos et vidéos de nos concerts qui nous avaient décidés alors à nous lancer sur ce réseau social en plus de notre page Facebook.
Depuis cette création, nous publions des photos de notre orchestre et de nos musiciens côté coulisse ou côté concert et chaque jour nous partageons « la Sélection photo de Lyon par l’Orchestre Symphonique de Lyon ». En effet, fier de notre belle ville, nous prenons plaisir à partager régulièrement une photo de Lyon d’un photographe amateur ou professionnel.
Alors, quand il a fallu sélectionner la photo le lendemain de ce 14 juillet 2017, j’ai eu beaucoup de mal à faire un choix. Toutes les contributions de photo de Lyon sous les feux d’artifices étant si belles, je me suis décidé à en faire un article !
Une façon aussi de remercier les photographes pour leurs belles photos qui sont parfois mises en avant sur notre compte instagram www.instagram.fr/oslyon.
C’est la Mega Sélection photo de Lyon par l’Orchestre Symphonique de Lyon#selectionoslyon sur instagam
Ce jeune instagramer nous propose ici un très joli Bleu Blanc Rouge ! Sur son compte vous pourrez voir de magnifiques photos de notre belle ville. Une très jolie découverte pour moi.
Difficile de choisir la plus belle parmi 5 très jolies réussites mais comme il faut choisir, je me suis arrêté sur cette très belle photo avec Fourvière et Saint Jean. Sur le compte de cet instagramer qui aime partager sa passion de la photo vous trouverez des photos de Lyon plus belles les unes que les autres !
Un très réussi Bleu Blanc Rouge, mais allez sur son compte vous en verrez d’autres très réussies. Dans sa galerie, Amaury nous propose de superbes photos de Lyon de nuit mais aussi un peu de lui et de sa passion pour la neige.
Stéphane est souvent reposté (c’est-a-dire sélectionné et republié) par l’OSL et d’autres pages. Un bel univers mettant Lyon en lumière. Allez sur son compte, il y a des photos démentielles !
Une découverte assez récente pour l’OSL. Vous découvrirez une grande étendue de thèmes abordés dans sa galerie.
Son souhait : saisir le monde qui nous entoure !
Au-delà d’un service haut de gamme, Lyon Taxi Prestige nous propose souvent de très belles photos de notre belle ville. Là encore j’ai dû ne retenir qu’une des multiples photos disponibles sur sa galerie.
Un photographe lyonnais dont j’adore les photos. Là aussi, j’ai retenu une seule photo car il fallait faire un choix mais allez vite découvrir son travail très original.
Léonard lui aussi est bourré de talents. Je le suis depuis peu mais c’est une explosion pour les yeux à chaque nouvelle photo et une vraie invitation au voyage !
Allez voir son compte. Pas moins de 12 photos magnifiques de ce feu d’artifice 2017 et des photos très originales de Lyon. Et si vous voulez suivre les conseils d’un photographe avisé, rendez-vous sur son blog blog.dapacari.fr et www.dapacari.fr
Jérôme , ce photographe amateur, a plus d’un type de photo dans son sac. Paysages de Lyon ou d’ailleurs, j’adore contempler sa galerie. Faites aussi un tour sur son portfolio jaylyonphoto.jimdo.com , son travail est vraiment très intéressant.
Le chiffre de 6.000 abonnés suffit à nous indiquer à quel point cet artiste propose des photos plébiscitées. Voici une des quelques photos du feu d’artifice qu’il nous propose. Parcourez aussi sa galerie. Vous découvrirez de très beaux paysages de Lyon.
David a un très joli regard sur le monde et sur Lyon. Je vous conseille d’aller faire un tour sur sa galerie. Vous adorerez comme nous ! Et pour découvrir les souterrains du coin, un petit tour sur son blog blog.davidpatin.fr
Pas une semaine sans que ce photographe amateur n’ai de photos sélectionnées par un site ou pour un autre. Pour ce feu d’artifice, il nous régale par les belles couleurs de sa photo.
J’ai rarement été époustouflé par une galerie mais là je dois avouer que je n’en reviens pas. Une merveille et si vous n’êtes pas abonné je vous ordonne d’y aller de suite !
Un joli Bleu Blanc Rouge par Franz qui nous régale de ses talents. Chaque photo est parfaite. J’ai encore ce souvenir de notre première rencontre avec IgersLyon en lightpainting ou en plus Franz avait montré son talent de Mac Gyver !
Un univers personnel à retrouver dans sa galerie Instagram mais aussi sur son site. Il se décrit comme un photographe d’instants précieux et c’est exactement ce qu’il nous propose !
Patrice a l’œil. Sublimes photos de Lyon mais pas que, le tout avec de belles couleurs. Vous vous abonnerez si ce n’est pas déjà le cas, j’en suis certain !
De très jolies étoiles sur la Vierge Marie de Fourvière. Une galerie toute en cohérence qu’on apprécie de découvrir. Nature, ville, portraits, voyages : vous aurez de quoi parcourir cet été !
Un blogueur et photographe Culture moi j’adore !
Surtout quand il est simple et qu’il partage ses propres petits moments en toute simplicité. Merci Anthony !
Un blogueur au 12.000 abonnés qui est des deux côtés de l’objectif, le tout avec un ton simple !
Il nous propose ici le feu d’artifice au cœur de Lyon.
N’hésitez pas à découvrir son univers. C’est du pro !
C’est le blogueur gastro des Gônes et il ne se prend pas la tête. Partage de bons plans gastro de Lyon et de moments cool, y a plus qu’à faire un tour et noter les bonnes adresses !
La photo de Stéphanie aura été l’une de mes premières photos partagées en sélection pour ce 14 juillet car oui il fait bon vivre à Lyon et Stéphanie le montre dans sa galerie.
Rendez-vous sur son blog http://www.goodlifeinlyon.com/
On le voit sur cette photo de Michael, vous étiez nombreux à admirer ce feu d’artifice sur les berges du Rhône face à notre bel Hôtel Dieu qui se refait une magnifique beauté.
La galerie de Mika propose de superbes paysages qu’on voudrait visiter chaque jour !
Parce qu’Instagram est avant tout un réseau social pour tous, voici Laureen qui partage ses passions, ses amitiés et cette photo sympa de son 14 juillet à Lyon.
Jusqu’à ce 14 juillet, je ne connaissais pas son compte et sa galerie. Un partage au fil de ses envies sur son Instagram. J’apprécie son sens du détail, du coup, je me suis abonné et il y a des chances que vous fassiez comme moi !
Voyages, études, amis, selfies ! Ben oui c’est Instagram et dans la galerie d’Antoine on a en plus de très belles photos de Lyon et d’ailleurs.
Bravo garçon pour cette belle photo de ce feu d’artifice !
Je ne sais pas si je dois le classer dans les photographes amateurs ou professionnel. Sa galerie me parait tellement précise que je vois derrière ce pseudo un réel artiste. Je vous laisse découvrir ses photos !
Nature, portraits et Lyon. C’est ainsi que je peu résumer l’univers de ce photographe qui saura vous séduire en toute simplicité.
Et aussi sur www.thomasschubertphotography.com
https://instagram.com/p/BWiyzbNBHin/
Merci à tous les instagramers pour cette méga #selectionoslyon et votre autorisation de partage ! Il y avait en effet de quoi faire avec ces photos.
Merci à tous les lecteurs qui êtes arrivé au bout de ce méga article. On en fait rarement des aussi long à l’OSL !
N’hésitez pas à réagir et nous dire si ce type d’article vous a plu !